Résidences seniors : combien ça coûte ? Quelles aides financières ?

Résidences seniors : combien cela coûte ? Quelles aides financières ? Les résidences seniors présentent de nombreux avantages, ces prestations ont toutefois un coût qu’il est possible d’alléger en recourant à des aides financières. Être locataire d’un logement équipé, agréable, adapté à l’avancée en âge, au sein d’un quartier animé, proche des commerces avec un personnel présent nuit et jour, dans un cadre sécurité et convivial, telle est la promesse des résidences seniors. Mais, avant de franchir le pas, la grande inconnue reste la question financière.

Résidences seniors : combien cela coûte ? Quelles aides financières ? Les résidences seniors présentent de nombreux avantages, ces prestations ont toutefois un coût qu'il est possible d'alléger en recourant à des aides financières. Être locataire d’un logement équipé, agréable, adapté à l’avancée en âge, au sein d’un quartier animé, proche des commerces avec un personnel présent nuit et jour, dans un cadre sécurité et convivial, telle est la promesse des résidences seniors. Mais, avant de franchir le pas, la grande inconnue reste la question financière. À partir de 1 400 euros par mois Pour un logement en résidences seniors, comptons au moins 1 400 euros par mois. Ce prix est variable en fonction de la taille du logement choisi (studio, deux, trois pièces…), du type de prestations proposé à celui-ci, et surtout, des services additionnels demandés (ménage, aide à la personne, bricolage…). Notez que si la somme peut paraître élevée, le prix comprend le loyer, les charges (Internet, téléphonie.), le personnel présent sur place nuit et jour, l’accès et l’entretien des parties communes (salles de jeux, de sport, restaurant.), les activités proposées sur place et la navette permettant de se déplacer dans la ville. Quelles aides financières peut-on demander ? Il existe toutefois des aides financières pour aider à alléger la note. C’est le cas des aides au logement telles que l’APL (aide personnalisée au logement) à solliciter auprès de la Caisse d'Allocations familiales. Cette dernière est attribuée aux locataires de résidences conventionnées et sous conditions de ressources. Un simulateur est disponible sur le site de la Caf pour estimer le montant de son aide au logement. L’APA (Allocation personnalisée d’autonomie) peut également être demandée par toute personne en perte d’autonomie à partir de 60 ans. Elle permet de couvrir une partie des frais de logement en fonction du degré de perte d’autonomie évalué par la grille Aggir (de GIR 1 pour les personnes les plus dépendantes à GIR 4). La demande se fait auprès des services du département ou de la mairie où réside du bénéficiaire. Enfin, l’ASH (Aide sociale à l’hébergement) permet de régir une partie des frais liés au logement d’une personne âgée de plus de 65 ans si ses ressources sont inférieures au montant des frais d’hébergement. L’aide est versée par le département, son montant est variable en fonction des ressources du bénéficiaire. Le dossier de demande est à retirer à la mairie de son lieu de résidence ou au centre communal d’action sociale (CCAS) de sa commune. Notez que ces trois aides peuvent être cumulables et que les habitants de résidences seniors sont également éligibles à une réduction d’impôt égale à 25 % des sommes réglées pour l’hébergement avec un plafond de 10 000 euros par an et par personne (soit une réduction possible de 2 500 euros par an). L’APA et les aides au logement doivent être déduites du montant déclaré.Andorre - Signature d’un accord pour améliorer la circulation entre la France et l’Andorre (02 mai 2022)

À partir de 1 400 euros par mois
Pour un logement en résidences seniors, comptons au moins 1 400 euros par mois. Ce prix est variable en fonction de la taille du logement choisi (studio, deux, trois pièces…), du type de prestations proposé à celui-ci, et surtout, des services additionnels demandés (ménage, aide à la personne, bricolage…).

Notez que si la somme peut paraître élevée, le prix comprend le loyer, les charges (Internet, téléphonie.), le personnel présent sur place nuit et jour, l’accès et l’entretien des parties communes (salles de jeux, de sport, restaurant.), les activités proposées sur place et la navette permettant de se déplacer dans la ville.

Quelles aides financières peut-on demander ?
Il existe toutefois des aides financières pour aider à alléger la note. C’est le cas des aides au logement telles que l’APL (aide personnalisée au logement) à solliciter auprès de la Caisse d’Allocations familiales. Cette dernière est attribuée aux locataires de résidences conventionnées et sous conditions de ressources. Un simulateur est disponible sur le site de la Caf pour estimer le montant de son aide au logement.

L’APA (Allocation personnalisée d’autonomie) peut également être demandée par toute personne en perte d’autonomie à partir de 60 ans. Elle permet de couvrir une partie des frais de logement en fonction du degré de perte d’autonomie évalué par la grille Aggir (de GIR 1 pour les personnes les plus dépendantes à GIR 4). La demande se fait auprès des services du département ou de la mairie où réside du bénéficiaire.

Enfin, l’ASH (Aide sociale à l’hébergement) permet de régir une partie des frais liés au logement d’une personne âgée de plus de 65 ans si ses ressources sont inférieures au montant des frais d’hébergement. L’aide est versée par le département, son montant est variable en fonction des ressources du bénéficiaire. Le dossier de demande est à retirer à la mairie de son lieu de résidence ou au centre communal d’action sociale (CCAS) de sa commune.

Notez que ces trois aides peuvent être cumulables et que les habitants de résidences seniors sont également éligibles à une réduction d’impôt égale à 25 % des sommes réglées pour l’hébergement avec un plafond de 10 000 euros par an et par personne (soit une réduction possible de 2 500 euros par an). L’APA et les aides au logement doivent être déduites du montant déclaré.